Des « algues bleues » pour alimenter nos montres connectées : une solution peu couteuse et recyclable
Quelques cyanobactéries, une dose de soleil et un peu d'eau. C'est presque tout ce qu'il a fallu à des chercheurs pour alimenter un microprocesseur pendant plusieurs mois. Pas de quoi, encore, brancher nos voitures électriques sur des « algues bleues ». Mais peut-être bien la vague d'objets connectés qui déferle sur le marché...